Nos propositions

Nos Propositions


La dénomination de notre parti ; Ensemble Changeons le Congo, est à la fois un appel et une interpellation.

Nous lançons cet appel à tous les Congolais qui partagent avec nous la même vision pour ce pays, nous les invitons à venir se joindre à nous pour faire avancer la cause de la communauté nationale.

Loin de nous la prétention d'avoir la solution miracle à travers ces quelques lignes, mais nous pensons que l'amour et l'attachement à ce pays suffisent pour nous donner à tous l'envie de participer à cette oeuvre immense qu'est sa reconstruction.

Ceci n'est qu'un projet susceptible d'être enrichi par d'autres. Quant à nous, nous croyons fermement à la renaissance de ce pays et nous allons travailler pour que ce changement soit réel.

Notre Projet

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Organisation politique

La République démocratique du Congo est un immense pays au cœur de l’Afrique avec une superficie de 2 345 410 km², ce qui nécessite une bonne organisation de son espace et une gestion efficace de ses ressources.

Pour bien administrer le pays et impliquer davantage notre population dans la prise de décision, la meilleure recette possible est celle de la décentralisation telle que proposée dans la Constitution avec l’avènement des 26 provinces et le transfert réel des pouvoirs de gestion aux entités de base de l’administration locale.

Cette décentralisation ne peut être un prétexte pour mettre à mal la cohésion et l’unité nationale.

 

Administration

Le parti Ensemble, Changeons le Congo propose de revaloriser l’administration publique pour qu’elle joue pleinement son rôle de moteur de développement et de pilier de l’Etat.

Nous voulons une administration efficace et professionnelle afin de permettre à l’Etat d’exercer son autorité sur l’ensemble du territoire national et de bien le gérer.

A ce titre, nous entendons :

  1. Redonner à l’administration publique sa place dans le fonctionnement de l’Etat
  2. Re-classifier les emplois à la Fonction Publique, à la Magistrature, à la Territoriale, à l’Enseignement et dans le secteur de la Santé
  3. Motiver les fonctionnaires de l’Etat de la même manière que les autres secteurs avec des primes, crédits maisons, moyens de transports et autres motivations qui donnent à cette catégorie de travailleurs l’amour de servir la nation et de faire leur travail avec conscience.
  4. Assainir la gestion des cabinets politiques budgétivores au profit de l’administration
  5. Moderniser et informatiser l’administration publique avec les nouvelles technologies de l’information
  6. Relancer l’Ecole Nationale d’Administration pour la formation d’administrateurs compétents et bien formés.

Nous devons veiller à ce que les services rendus par l’administration publique à notre population soient les meilleurs possibles et qu’ils respectent les droits et libertés des citoyens. Aucune discrimination ne sera tolérée dans le recrutement du personnel de l’Etat, seule la compétence et la méritocratie seront prises en compte.

 

Sécurité

Depuis plusieurs années l’Etat congolais n’a plus exercé son autorité dans certaines portions de notre territoire national à cause des conflits consécutifs que le pays a connu et la présence de groupes armés et de forces négatives.

Les populations civiles sont victimes d’atrocités innommables et sont poussées à l’exil. Il faut que l’autorité de l’Etat soit restaurée sur l’ensemble du territoire national afin de bien sécuriser les personnes et leurs biens.

Cela requiert une réforme en profondeur de nos services de sécurité, de notre police nationale et de notre armée. Il y a des efforts qui ont été fait pour rendre ces services plus performants, mais un renforcement des capacités s’avère indispensable.

Il nous faut mettre ces structures à niveau, les doter de moyens logistiques et financiers importants pour qu’elles remplissent leurs devoirs et répondent aux attentes de la nation.

Rémunérer décemment nos militaires, nos policiers, nos agents de renseignements pour qu’ils sécurisent nos populations et protègent notre territoire national.

 

Droits de l’homme

Le Congo a ratifié les conventions internationales des droits de l’homme, la Constitution de la république protège les droits des citoyens.

Malheureusement, bon nombre de nos compatriotes ne connaissent pas leurs droits ni leurs devoirs. Pour cela nous proposons l’adoption par le Parlement d’une charte des droits et libertés du citoyen.

Cette charte va reprendre toutes les libertés et droits reconnus dans la Constitution et on y ajoutera une annexe des devoirs du citoyen envers son pays. Elle sera écrite dans toutes les langues nationales pour permettre une large vulgarisation et à la portée de tous nos concitoyens.

Nos services de police et de renseignements doivent être suffisamment outillés pour éviter les bavures et dérapages que nous déplorons en leur chef et qui  ternissent l’image du pays.

Le respect des droits de l’homme doit être un impératif auquel l’Etat congolais doit souscrire à tous égards.

 

Économie

Le Congo est aujourd’hui en retard par rapport à d’autres pays du monde suite à la mauvaise gestion des ressources de l’Etat. La mauvaise gouvernance est la cause principale de la débâcle congolaise.

C’est pour remédier à cela que notre parti va s’employer à appliquer les nouvelles méthodes de gestion ; une gestion efficiente des finances publiques, la transparence, le respect de la chaîne des dépenses, l’application stricte du budget pour donner à la RDC les moyens de son redécollage économique.

Pour cela il nous faut :

  1. Une économie de marché basée sur la libre entreprise
  2. Elaborer une politique économique et industrielle privilégiant la production interne par la transformation locale de nos matières premières
  3. Mettre en place une politique économique et industrielle privilégiant la création des unités de production agricole à grande productivité en vue de relancer la production
  4. Faire la promotion du crédit à la classe moyenne en général et principalement agricole dépourvu d’hypothèques
  5. Promouvoir le développement des infrastructures de base en vue d’encourager les investissements
  6. Mobiliser tous les impôts dûs à l’Etat 
  7. Pratiquer une politique monétaire qui tienne compte des impératifs de stabilité de la monnaie et du financement au développement
  8. Imposer une contribution sur la fortune
  9. Renforcer l’amélioration du climat des affaires
  10. Lutter contre la corruption, la gabegie financière et le détournement des deniers publics

 

Marché intérieur

Le Congo en soi est un marché intérieur important qui compte plus 100 millions de consommateurs ; un potentiel qu’il faut revitaliser et mettre en valeur.

Pour que ce marché intérieur soit prospère et dynamique, il y a des mesures que l’Etat doit prendre afin de permettre la circulation des biens et des personnes;

  1. Poursuivre la modernisation des routes d’intérêt national qui accroit l’interdépendance des provinces et facilitent les échanges
  2. Mettre en place un réseau national de distribution des produits locaux
  3. Abolir les barrières inter – provinces.

 

Transport & voies Communication

Un pays aussi vaste que le nôtre a besoin d’un réseau de communication important. Plusieurs possibilités s’offrent à nous pour faciliter le déplacement des populations et des biens, l’écoulement des produits agricoles, les échanges entre les provinces ; par la voie terrestre, par air, par voie fluviale ou lacustre.

Nous devons pour cela :

  1. Doter la SCTP de moyens conséquents pour réhabiliter sa flotte et acquérir des nouvelles unités flottantes afin de faciliter le transport des marchandises et des personnes par le fleuve et nos lacs intérieurs
  2. Doter la Compagnie Maritime Nationale de bateaux de haute mer pour l’évacuation de nos produits vers les marchés internationaux et l’acheminement vers le Congo des produits d’importation
  3. Réhabiliter et construire des routes à vocation nationale pouvant faciliter les échanges et l’interconnexion des provinces
  4. Construire et moderniser les voies ferrées avec un matériel roulant moderne.

En I960, le Congo n’avait que 14 millions d’âmes et la majorité des Congolais vivait dans les campagnes, aujourd’hui nous sommes à 100 millions, nos villes ont connu un accroissement démographique important. Le déplacement des personnes devient une préoccupation auquel le pouvoir public doit répondre.

ECCO prévoit des transports en commun comme on en voit dans les grandes villes du monde avec le Métro, le Tram, le Train Urbain et l’autobus.

 

Travaux Publics

Pour faire face aux exigences de son développement et de l’aménagement de son territoire, la République Démocratique du Congo doit avoir une politique de grands travaux importante qui lui ouvrirait les horizons d’un développement harmonieux et intégral.

Il nous faut construire des nouvelles Routes, des Aéroports, des Ports, des Universités, des Hôpitaux et des Ecoles. On le fera en partenariat avec le secteur privé pour que l’Etat recentre son action sur l’essentiel qui consiste à la régulation de la vie nationale.

 

Agriculture

Considérant l’immensité des terres arables, le Congo a l’obligation d’avoir une politique agricole ambitieuse compte tenu du potentiel disponible pouvant lui assurer une autosuffisance alimentaire et même exporter son surplus. Cela est réalisable si nous mettons en place une bonne politique agricole.

Pour permettre à nos paysans de se remettre au travail et de participer efficacement à la relance de la production, il nous faut :

  1. Prendre la résolution qui fait de l’agriculture une des priorités majeures de la politique gouvernemental
  2. Recentrer notre politique agricole sur la production des cultures vivrières consommées localement
  3. Entretenir de manière permanente les routes de desserte agricole qui facilitent l’évacuation des produits
  4. Réhabiliter les grandes fermes et plantations abandonnées
  5. Créer des coopératives afin d’organiser les paysans pour l’évacuation et la vente de leurs produits
  6. Rouvrir les grandes écoles agronomiques comme Mondongo, Yangambi et autres en vue de former des agronomes et vétérinaires capables d’encadrer et d’aider les paysans
  7. Organiser le pays en pépinière dans le but de faire ressortir les priorités de chaque province. Par exemple le Kivu sera la capitale de la pomme de terre, du thé et de l’élevage du gros bétail ; le Kwilu celle du maïs ; l’Equateur va produire le poisson et le café ; ceci pour arriver à produire localement tout ce qui tombe dans l’assiette du congolais et diminuer notre dépendance vis-à-vis de l’extérieur
  8. Créer une société mixte avec le secteur privé pour l’exploitation de notre fleuve, nos rivières et lacs pour produire du poisson et promouvoir l’élevage à grande échelle des bovins.

 

Intégration régionale

De par sa vocation continentale, la RDC est obligée d’avoir une politique axée vers l’intégration des espaces économiques, politiques et sociaux qui permettent aux pays de la région des grands lacs et d’Afrique centrale de se concerter et d’orienter de manière cohérente leurs efforts de développement.

Sa participation au sein des organisations régionales comme la CEPGL, la CEEAC, la SADEC, la CEMAC est à encourager et à renforcer. Les pays de la région doivent unir leurs efforts pour éviter les affres de la guerre et promouvoir la paix et le développement.

 

Environnement

Le Congo est le deuxième poumon du monde de par sa végétation après l’Amazonie, nous devons bien gérer cette ressource pour qu’elle soit profitable à la communauté.

Nous devons apprendre à notre population le respect de l’environnement dès le bas âge, par l’introduction du cours de l’éco – civisme dans le programme d’enseignement. C’est une responsabilité qui nous incombe à tous.

 

Enseignement

Le Congo avait il y a de cela quelques années le meilleur système éducatif du continent africain, mais malheureusement un laisser-aller a été observé dans ce secteur qui a fini par perdre toutes ses lettres de noblesse au point que nos diplômes ne sont pas considérés dans certains pays.

Pire encore la profession d’enseignant qui autrefois était un métier noble est reléguée au second rang.

Pour améliorer la qualité de notre enseignement, il est une nécessité de :

  1. Reformer nos programmes d’enseignement pour les adapter à la demande du marché et aux impératifs du développement du Congo
  2. Construire des nouvelles infrastructures scolaires et réhabiliter celles qui existent
  3. Privilégier la création et la promotion d’écoles professionnelles dans toutes les provinces pour doter le pays d’une main d’œuvre qualifiée qui nous fait défaut aujourd’hui. Pour espérer attirer les grands investisseurs et mettre sur pied des usines il faut qu’on forme des ouvriers qualifiés et compétents
  4. Revaloriser la fonction d’enseignant par un salaire rémunérateur et d’autres avantages sociaux
  5. Assurer progressivement la gratuité de l’enseignement primaire et secondaire et concilier les programmes d’enseignement de recherche d’une part et les programmes de développement d’autre part.

 

Santé

Depuis l’accession du pays à l’indépendance, le secteur de la santé a été laissé aux oubliettes, nos hôpitaux sont devenus des mouroirs et le personnel médical mal payé et mal formé.

Nous devons y remédier en mettant en place un système de santé adéquat et adapté aux réalités de notre société ; nous devons reformer le système actuel.

Face à la vétusté des infrastructures de santé, nous allons dans les plus brefs délais :

  1. construire dans chaque ville un grand hôpital de référence et des centres de santé modernes dans chaque territoire, les doter en équipements modernes et spécialisés.

  2. Revaloriser le personnel médical en le mettant dans de bonnes conditions de travail avec une bonne rémunération.

  3. Octroyer des subsides à ces hôpitaux pour diminuer les coûts de santé exorbitants qui sont hors de portée de plusieurs ménages.

  4. Étudier avec les professionnels de la santé la possibilité d’instaurer des mutuelles de santé avant d’envisager une couverture de santé universelle.

Nous devons encourager la production pharmaceutique nationale et la médecine traditionnelle.

 

Emploi

La pauvreté que nous décrions étant la conséquence du taux élevé de chômeurs dans le pays, nous devons arriver à créer suffisamment d’emploi pour diminuer tant soit peu la misère et la pauvreté.

Nous avons un potentiel humain important que nous pouvons mettre à la disposition des entrepreneurs.

Nous allons pour ce faire :

  1. Lutter contre le chômage des jeunes 
  2. Protéger les emplois locaux en faveur des compétences nationales
  3. Libéraliser le secteur de la sécurité sociale
  4. Assurer la répartition équitable du revenu national afin d’atténuer les inégalités sociales et garantir le panier de la ménagère
  5. Appliquer la Tension salariale de 1 à 10 sur base des normes du B.I.T

 

Solidarité nationale

En vue d’éradiquer la pauvreté, nous allons mettre sur pied une caisse de solidarité nationale en vue de sortir de la pauvreté les couches vulnérables de notre population.

Chaque année, des familles congolaises en difficulté auront accès à cette caisse pour financer des activités commerciales ; des crédits remboursables à une échéance à convenir.

Cette caisse sera totalement financée par le trésor public; les modalités pratiques du fonctionnement de cette caisse seront définies par une loi organique qui sera votée à l’Assemblée nationale.

Nous considérons la solidarité entre congolais comme un impératif social qui doit servir de fondement des rapports tant au plan du travail de production qu’au plan de la répartition du revenu national.

Ceci implique qu’un Congolais ou une famille congolaise en difficulté doit bénéficier du concours spontané des autres, de sorte d’engager la marche nationale vers le progrès.

 

Habitat

Avec l’accroissement des villes, le logement constitue une difficulté puisqu’il ne répond pas à la demande ; il y a donc inadéquation entre les disponibilités en logement et la croissance démographique.

Pour remédier à cette situation l’Etat doit adopter une politique de logement en dépit des efforts qui sont faits par le privé.

Notre parti entend :

  1. Appliquer une politique nationale de l’habitat par la construction de logements sociaux à travers tout le territoire national
  2. Étendre la politique de crédit – maison à tous qui sera garanti par l’Etat
  3. Restaurer le patrimoine immobilier de l’Etat
  4. Rendre le contrat de bail obligatoire garantissant les intérêts réciproques des bailleurs et des locataires
  5. Encourager le privé à investir dans ce domaine.

 

Eau et électricité

Avec le potentiel hydroélectrique que nous avons, nous mettrons les moyens nécessaires pour mettre en valeur ces ressources afin de permettre à l’ensemble du peuple congolais d’en jouir.

Le barrage Zongo, de la Tshopo, de la Ruzizi et tant d’autres devront contribuer à fournir l’électricité à nos villes et villages. Notre ambition est d’arriver au terme des cinq ans à augmenter sensiblement la fourniture en eau et en électricité sur l’ensemble du territoire national.

 

Culture et Art

La République Démocratique du Congo est un vivier important du monde vu la pluralité des cultures qui se côtoient dans un espace de 450 tribus et autant de langues vernaculaires.

Sa musique riche en couleur et en mélodie donne l’éclat et de la symbiose de cette diversité musicale et artistique.

Ses sculptures, ses fresques, sa vannerie et sa peinture reflètent cette richesse.

Il nous faut adopter une politique à la dimension de nos potentialités pour redonner à notre culture sa valeur.

Pour cela il faut :

  1. Intensifier les programmes de lutte contre l’analphabétisme sur toute l’étendue du pays
  2. Assurer la revalorisation de la promotion de notre patrimoine culturel et artistique
  3. Encourager la création des maisons de culture pour la jeunesse
  4. Assurer l’encadrement et la promotion de la recherche scientifique
  5. Favoriser la vulgarisation des sports de masse et l’incitation des jeunes à la pratique saine des sports
  6. Assurer la promotion de nos valeurs touristiques et muséales

 

Les Arts :

Nous sommes un pays aux potentialités artistiques immenses, notre musique est écoutée et aimée partout dans le monde, nos peintres, nos acteurs sont talentueux, mais malheureusement cette richesse ne profite pas à la nation.

Il faut une meilleure organisation et une promotion adéquate de notre culture, il y a donc du travail à faire pour que ce secteur de la vie soit rentable non seulement aux artistes, mais également à la nation.

L’Etat doit se concerter avec nos artistes pour élaborer une politique de revalorisation de notre culture. Notre parti apportera sa contribution avec des réflexions beaucoup plus fournies.

 

Jeunesse et Sport

En ce qui concerne la jeunesse en particulier, il est un devoir pour l’Etat congolais de mettre une politique nationale d’encadrement de la jeunesse. Le phénomène Kuluna et Shegué démontre à suffisance que notre jeunesse n’est pas encadrée et est désœuvrée.

Il faut des mesures idoines pour combattre ce fléau.

Pour cela il faut :

  1. Insérer dans l’enseignement national le cours de civisme, de la morale, éducation familiale
  2. Créer des bibliothèques dans toutes les communes
  3. Rétablir des espaces de jeux dans les quartiers
  4. Promouvoir le sport dans les écoles, ce qui permettra aux entraîneurs d’identifier les meilleurs talents afin de leur fournir un encadrement adéquat
  5. Organiser nos compétitions nationales dans toutes les disciplines
  6. Construire de nouvelles infrastructures sportives à travers le territoire national
  7. Opter pour le professionnalisme de notre sport
  8. Créer une école de formation des encadreurs sportifs pour doter le pays d’encadreurs sportifs qualifiés.

 

Famille et genre

L’État congolais doit prendre la résolution de protéger la cellule de base de la nation qu’est la famille.

Elle est aujourd’hui abandonnée et délaissée ; les parents ont abdiqué de leur rôle, la famille est éclatée.

La violence, la délinquance, la déperdition scolaire sont autant de maux qui rongent notre société et qui seraient la conséquence directe de la désarticulation de nos familles. Il faut recréer le sens de la famille.

Le respect de la parité homme-femme doit être observé afin de donner à tous les mêmes chances d’accès aux emplois et aux responsabilités.

Il faut promouvoir et encourager la femme congolaise à s’engager davantage dans la vie publique.

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